Fanny Le Moal n’est pas tout à fait nouvelle à l’Ifrée puisqu’elle a déjà été à nos côtés en 2020, lors de son stage de master. Elle suivait alors la formation « Sciences pour l’environnement », option « Gouvernance et concertation » de l’Université de La Rochelle et avait contribué avec nous à l’ingénierie et à l’animation de différents projets : groupe de concertation sur une unité de compostage de l’agglomération de La Rochelle, comité citoyen et forum des acteurs de la transition de « La Rochelle Territoire Zéro Carbone » (LRTZC), concertation sur un projet éolien à Andilly et forum des acteurs du développement durable du Parc naturel régional du Marais poitevin.
Elle est désormais salariée de l’Ifrée depuis le 19 juillet dernier, après avoir complété son bagage universitaire par une année de master 2 dans une formation de renom, dirigée par Loïc Blondiaux, à La Sorbonne : « Sciences politiques et ingénierie de la concertation ».
« J’avais envie de m’ouvrir à d’autres domaines que l’environnement et j’ai pu tester la concertation dans l’urbanisme et les politiques publiques à travers les stages effectués, lors de cette année parisienne, au sein d’agences de communication et de concertation ». Mais, finalement, c’est l’application dans les domaines environnementaux qui remporte sa préférence et quand l’Ifrée ouvre un poste fléché sur ces enjeux, il ne fait de doute pour personne que ce sera une belle opportunité partagée.
« Elle nous apporte son enthousiasme naturel et nous permettra sans aucun doute de consolider nos points de repères quant à l’animation de dispositifs participatifs grâce aux apports universitaires récents qu’elle a acquis », analyse Marie Eraud, chargée de mission concertation à l’Ifrée.
Fanny se réjouit déjà de découvrir de nouveaux enjeux environnementaux, comme la gestion de l’eau, pour lesquels la concertation entre acteurs est une nécessité. Elle apprécie aussi de travailler dans une association, avec le sentiment de mieux servir l’intérêt général, d’agir au plus près des territoires et de suivre un modèle économique plus proche de ses valeurs. Elle a envie de s’essayer aussi à la transmission et à la formation.
Et ça tombe bien, car cela correspond au panel de domaines d’action que l’Ifrée permet aux professionnels d’investir !
